Non classé

Dernière mise à jour le 28/02/16

Présentation


Pour faire simple, il s’agit uniquement d’un étude théorique sans schéma associé, ce projet n’est pas terminé

Calculs


calculs-1

Dernière mise à jour le 12/01/2014

Premier vol Dji Phantom avec caméra Go Pro Black edition
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photo.du.drone


Voici la bête!!! (Cliquer sur la photo vous c’est mieux de plus près).
Premier vol du drone avec une petite caméra Go Pro Black edition, le pilotage est remarquable ainsi que la qualité de la vidéo,
lien=> http://www.dji.com/product/phantom (pour ceux qui sont intéressé par ce produit.)
Vidéo mis en ligne par funky2289 “”Benjamin John”)” et oui c’est mon frère Benjamin et mon papa Pierre sur la vidéo.



Historiques
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– 1er mise à dispostion (vidéo Utube posté par Funky2289 “Benjamin John”).

 R&D (Recherche et Developpement)


La simulation qu’est ce que c’est ?

La simulation permet d’effectuer des montages électroniques ou même électrique suivant le ou les logiciels utilisés et d’amener à biens ses projets.
La simulation est un outil informatique très puissant qui ce développe de plus en plus puis facilite les montages. Il est vrai que je gagne un temps fou et cela m’évite de démonter et remonter à chaque fois voir même de souder et desouder mes composants à chaque fois.


La simulation est t’elle fiable à 100% ?
je ne dirais pas 100% et même je ne m’avancerais pas à mettre un pourcentage d’erreur car il y’a différentes façon de voir les choses et c’est ce que nous allons voir dans ce présent article.
Dans la R&D (Recherche et développement) un ingénieur doit être capable d’interpréter les informations données par le logiciel de simulation (Courbes, tensions, etc…) et il doit être dans l’obligation d’expliquer le « pourquoi du comment ! ».
Un logiciel de simulation exécute ce qu’on lui demande de faire, par exemple il est possible de simuler une petite led de 2,2V qui consomme un courant de 10mA alimenté sous une tension alternative (secteur EDF), oui ça fonctionne en simulation mais en réel ? (hum !! A NE PAS REPRODUIRE !) .

 




 
L’inconvénient de la simulation, c’est qu’elle fait ce qu’on lui demande de faire mais en aucun cas le risque de destruction de matériels est épargné. Certain logiciel donnent des messages d’erreurs et nous dis par exemple (erreur du montage, ou montage incorrecte) vous avez de la chance !!! et certain ne donne aucun message (dommage pour vous).

Le travail de l’ingénieur va donc être d’interpréter les résultats donnés par le logiciel de simulation et donnés des explications mathématiques ce qui en résulte qu’il faut être aussi à l’aise dans la manipulation des formules mathématiques. Il va de sois que je vous montrerais qu’un petit aperçu de ce qu’est la R&D dans l’électronique et de vous montrer différents cas simple voir complexe.
Je parle de R&D, car c’est avec des logiciels comme vous avez pus le constater que je recherche et développe mes circuit électronique et électrotechnique (logiciel non communiqué sur ce site).

Mais est ce que ça marche mon montage ?
Vous vous posez la question si votre montage va fonctionner, essayer le avec votre logiciel mais est ce qu’il fonctionnera en réalisée ? hum….
Je ne détaillerais pas toute la partie technique dont le module de simulation est basé sur le moteur Spice.

Exemple 1)


(Led /resistance / alimentation de 9Vdc)
On alimente une petite led de 2,2V sous un courant de 10mA. Est-ce que ça marche d’après vous ?

  • 1er chose, vous allez avant de faire le montage, réaliser le calcul de l’ensemble soit :

On utilise une led qui consomme un courant de 10mA et alimenter sous une tension de 2,2V
La tension délivrée par l’alimentation est de 9V bon ? Et maintenant ?
Ualim=Ur+Uled =R*I led+Uled.
Le but est d’avoir une tension de 2,2V et un courant de 10mA aux bornes de notre led
R=(Ualim-Uled)/0.010=(9-2,2)/0.010=680 Ohms.
Est-ce que une résistance de 680 Ohms existe sur le marché ? la réponse est OUI !!!

  • 2ème choses : Vous avez calculer la valeur de vos composants en l’occurrence ici la résistance passons à la simulation:


simulation-2


Apparemment la théories est proche de la simulation …

  • 3ème choses : Est vous certain que la simulation est juste :
    La puissance dissipée par la résistance est t’elle bonne ? Tien une chose que nous n’avons pas pensé
    P=R*I²=680*0,010*0,010=0,068 OK (une ¼ ou ½ W sera un choix judicieux)
  • 4ème choses : Si vous êtes sûr de votre coup, il faut passer à la pratique et réaliser le montage à vous de jouer.

Exemple 2)



charge-resistive

Un thyristor monté tête bêche style gradateur, Le but est de déterminer la forme du courant en sortie de celui-ci. Vous allez me dire facile I=U/R bravo, mais si je vous demande la forme et de me la démontrer avant de s’engager au montage du prototype. Il faut avant tout comme l’exemple de la led et de son alimentation passer par la phase calcul qui va nous permettre de déterminer la forme du courant. D’ailleurs avec une forme de courant on peut étudier beaucoup de choses.


Aperçu du fonctionnement par graphe


gradateur-courbe-1

 

Si vous cliquer sur l’image ci-dessus vous l’avez en gros plan regarder les valeurs entourés en rouge à gauche le temps en (ms) et à droite le courant (en A), je me suis amusé à décomposé tous le signal pour encore une fois démontrer que la théorie et la pratique sont exact.
Pour les matheux je vous laisse lire le PDF
Charge résistive

 

Exemple 3)



gradateur-charge-rl-1


Aperçu du fonctionnement par graphe


gradateur-charge-rl-corube-1

Un autre exemple sur un gradateur qui “pilote” une charge RL je laisse la note de calculs.
Charge inductive


Pour les personnes qui n’ont peut être pas la motivations d’écrire toute la formule sur leur calculette, ou pour les personnes qui peuvent douter des résultats, voiçi une photo réalisé sur ma propre calculatrice encore une fois les résultats entre la théorie et la simulation sont remarquables.


calculatrice-valeurs


Pour un temp t=0,011ms nous avons un courant de 0,349A, (vous pouver remarquer le début de la formule haut de l’écran de de ma calculatrice). Vous pouver comparer cette valeur avec le graph ci-dessus pour une charge RL.

Conclusions


Cela permet de répondre à des demandes particulières.
Aujourd’hui les logiciels de simulation donnent des résultats remarquables.
Une autre remarque primordiale, c’est qu’il faut toujours justifier les résultats obtenus pour ne pas « tomber dans le doute ».

Historiques


16/11/2013
– Ajout “Gradateur courbe RL”
– t=0,011 sec et non 0,010 sec

Dernière mise à jour le 12/05/2014

Présentation



easypic7


Dans cette article je vais aborder la platine “EasyPIC7”, j’avais envie d’expliquer pour les débutants (surtout pour les personnes qui viennent de recevoir cette platine et qui ne s’avent pas par ou commencer), les démarches à suivres afin d’arriver à programmer votre premier composant. Cette platine peut être alimentée directement depuis un (PC portable ou fixe) ou via une source externe. Cette platine “EasyPIC7” dispose de 8 supports capables de recevoir des microcontrôleurs PIC® au format 8, 14, 18, 20, 28 ou 40 broches. Un dispositif de régulation intégré permet aussi d’utiliser au choix ces microcontrôleurs et peuvent être alimentés sous une tension de 3,3 V ou de 5 V.
 
Pour ma part la platine EasyPIC V7 est facile à mettre en fonctionnement, tous est très bien expliqué et en Anglais et oui !!
 
Le coffret de chez MikroElectronika est très bien réalisé avec des emplacements afin de ranger les ecran LCD par exemple. Enfin pour les personnes curieuses et qui sont fortement intéressé par ce produit, vous pouvez voir cette vidéo (Présentation en Français) http://www.lextronic.fr .

Compiler + Programmer votre 1er PIC


Mise en fonctionnement de mon 1er Programme
Avant de vous lancer « tête dans le guidon », il faut avant tout choisir un langage de programmation parmi les 3 cités ci-dessous:

  • MikroC
  • MikroBasic
  • MikroPascal

 

 

Pour ma part j’utilise MikroPascal, et vu que je me suis mis aussi à programmer en langage C, vous trouverez la programmation en MikroC. Ces deux version sont des versions de démonstrations, mais ne vous inquiétez !! pas vous avez suffisamment assez pour faire votre bonheur et faire fonctionner vos montages électroniques qui utilises des microcontrôleurs. Pour MikroPascal il est possible de télécharger la version de démonstration qui est accessible à cette adresse : MikroPascal For PIC
 
Essayons et commençons par un exemple de programme que j’ai testé moi-même, “exemple très simple”, allumer et éteindre des leds. Etant donné que le Microcontrôleur qui est vendu avec la platine EasyPic V7 s’agit du PIC18F45K22, j’ai donc réalisé mes test sur celui-ci. Programme en MikroPascal et même en MikroC cela vous permettra d’avoir une idée sur ces 2 versions.(inutile de le coller dans MikroBasic cela ne fonctionnera pas !).

Mes 1er pas



jumpers


Des manipulations, toujours des manipulations, regarder si J1/J2/J8/J9 et mis dans la bonne position (photo ci-dessus), (vous utilisez un 16F628A qui correspond à un DIP18, et vous l’avez positionné en DIP18B, alors positionner comme ceci: (vous trouvez toutes ces explications à la page 10 du manuel EasyPIC V7 connectivity User’s GUIDE).


16f628a 16f628a

Nous y somme presque, maintenant, il suffit de compiler et d’envoyer votre programme dans le microcontrôleur, mais avant de le faire assuré vous que vous avez bien choisi le PIC18F45K22 (pour cela vous allez dans la fenêtre “EDIT PROJECT” et sur la droit vous allez voir “MCU Name” et c’est ici qu’il faut indiquer le PIC18F45K22).

Maintenant vous pouvez faire un copier du programme puis de coller la ou il doit se situer, ensuite de modifier dans “EDIT PROJECT” la fréquence de l’oscillateur (4-16Mhz), et pour finir, il ne reste plus qu’à aller sur Build puis Build + Program afin de le compiler et que le fichier au format(.Hex) soit “injecter” directement dans le PIC désiré.

Et voilà!! vous devez apercevoir que la led DATA clignote et le système est ACTIVE.
data
Si la led clignote c’est que ces bon signes!!
 
Ainsi il ne reste plus qu’à appuyer sur les boutons afin voir si le programme fonctionne. Je vous rassure le programme en MikroPascal et en MikroC fonctionne bien et le schéma représentatif du programme correspond à ceci;

Schéma PIC18F45K22 pour test


DIP Switch pour activer les leds


Si vous ne voyez pas vos leds s’allumer vérifier dans un 1er temps si les DIP switch sont bien sur la position “ON”


Visualisations des sorties (OUTPUT)


switch-1


EasyPIC V7 possède 36 LEDs dont le but est d’indiquer visuellement (présence ou non de lumière) l’état de chacune des broches E/S du microcontroleur. Une LED allumée (active) traduit la présence d’un un logique (1) sur la broche. Il faut donc utiliser le DIP switch SW3 afin de choisir les ports (PORTA/E, PORTB, PORTC ou PORTD) pour visualiser ce que vous souhaitez.


Visualisations des entrées (INPUT)


jumper port.et.b


L’état logique de toutes les entrées numériques du microcontroleur peuvent êtres modifiées (comme notre programme « allumé ou éteindre une LED »), par l’intermédiaire des boutons poussoirs. Le jumper (cavalier) J17 sert à définir l’état logique qui doit être appliqué à la broche du microcontroleur lorsque le bouton associé est pressé. Des résistances de protection ont pour but de limiter le courant afin de prévenir d’éventuels court-circuits.


Le jumper J17 est mis en position haute (photo ci-dessus), lorsque nous appuyons sur l’entrée RB0 (BP2) du PORT B, un état logique (1) est présente sur la patte RB0 du microcontroleur, le programme interne au PIC 18F45K22 s’exécute et active les sorties, on retrouve donc sur toutes les sorties RB0 un (1) logique.
Si maintenant nous relâchons l’entrée RB0 (BP2) du PORT B, un état logique (0) est présente sur la patte RB0 du microcontroleur, le programme interne au PIC 18F45K22 s’exécute et désactive les sorties, on retrouve donc sur les sortie RB0 un (0) logique, la sortie du PORTB est bien désactivée puisque les leds sont toutes eteintes.
 
D’autre variantes sont aussi possible afin de laisser l’entrée active, en utilisant la fonction Setbit ce qui permet de maintenir à l’état logique haut les sortie et resterons donc actives tant que Setbit n’a pas été effacé.


Setbit (PORTB, 0) :permet d’activer la sortie du port B (PORTB) sortie 0 (RB0) et de garder la sortie à l’état haut (1) logique.
Pour effacer la sortie, il suffit d’appliquer en entrée un genre de reset plus précisement un Clearbit, cette fonction permet d’éffacer le Setbit et de retrouver un état bas (0) logique. Dans ce cas la led est éteinte.

>
Clearbit (PORTB, 0) :permet d’effacer le Setbit et defaire une mise à zéro des sorties pour retrouver un état bas (0) logique.
 
Je vous laisse réfléchir pour ces deux fonctions qui sont à placer dans le Programme en MikroPascal.

Pull-up ou Pull-down?



port easypic-2.7


Une bonne question, ça c’est à vous de voir… Mais il faut savoir qu’il est possible de modifier les résistances de « tirages ».
Lorsque les switchs sont en postions haute, l’entrée des microcontrôleurs sont à l’état haut logique (1) d’ailleurs vous verrez que les leds vont s’allumer si vous modifié ces résistances en modifiant les DIP switchs.
Dans le cas contraire, si les switchs sont en postions basses, l’entrées des microcontrôleurs sont à l’état bas (logique (0), les leds du PORT concernés sont éteintes. Et une position intermédiaire qui nous dis qu’on utilise ni l’une ni l’autre.
Concrètement cela permet de relier les E/S soit à la masse pour avoir un logique bas (0) “pull-down” soit au +Alim pour avoir un logique haut (1) “Pull-up”.

Dernière mise à jour le 06/09/2014

Présentation



site


Ce montage électronique fait appel à un PIC 16F88 est va lui-même commander 5 leds en mode stroboscope à 5 voies indépendantes. Il permet par l’intermédiaire de potentiomètres de faire plus ou moins clignoter des leds (5 sorties PWM dont le rapport yclique varie de 0% à 100%). Un autre potentiomètre (Master), permet de modifier le clignotement général des leds dans la même proportion.

Alimentation



alimentation
L’alimentation du montage électronique peut ce faire sous une tension efficace comprise entre 8V à 14V, débitant un courant au grand maximum de 500mA, ce qui est largement suffisant pour l’alimentation de notre stroboscope.


Nota : Il est possible de rajouter une diode en sortie du régulateur si vous décidez de faire chuter la tension , le montage fonctionne très bien sans cette petite diode type 1N4004 ou 1N4007.

Commande/puissance



commande
stroboscope-001


Consommation du montage
Pourquoi ne pas calculer la consommation globale du montage, c’est d’ailleurs ce que j’ai fais , par contre j’ai négligé la consommation au niveau du quartz désolé.

Calcul des courants de consommation des potentiomètres (Niveau bas) :
Admettons que tous les potentiomètres sont au niveau bas on ce retrouve avec un courant d’environ 0,12mA, ce qui donne 6*0,12mA= 0,72mA (arrondie donne 1mA).


Calcul des courants de consommations des LEDs :
Prenons le cas ou les leds sont toutes alimentées à pleine puissance pour un courant de 20mA, ce qui donne 5*0,020=100mA, ces leds peuvent être de haute luminosité avec une tension d’environ 2,5V aux bornes de l’anode et la cathode.
Au final on se retrouve avec un courant de consommation 0,1mA + 100mA est égale à 101 mA).


Amélioration du montage ?
Oui, bien sûr on peut toujours faire mieux, en modifiant quelques ligne du code (non disponible projet PRO), et quelques composants électroniques nous voilà muni d’un gradateur de lumières à 5 sorties indépendantes (cela me donne des idées tous ça…).

Avertissement


Cela ne sera pas long non, c’est juste pour signaler que le potentiomètre (Master) , ne fonctionne uniquement si les 5 autres potentiomètres (RV1 à RV5) sont à 0% soit 0V, pourquoi?e t bien j’en ai décidé ainsi ;-).
Aperçu par graphs
5-sorties-pwm


Que dire de plus ? Ah si!! on remarques très bien que les 5 sorties sont indépendantes et fournissent en plus de ça 5 sorties PWM, puis vient le 6ème et dernier graph toutes les sorties PWM sont en phases en utilisant le Master (maître).

Logiciel du PIC


Non mis à disposition sur ce site

Présentation


Testé avec ma platine EasyPic V7, la partie commande (potentiomètre), et la partie puissance (LEDs) réalisé sur une plaque d’expérimentation sans soudure. Les tests ont dans un premier temps été réalisés avec une source d’alimentation limitée à 12Vdc 800mA ce qui laise de la marge, puis testé directement sur plaque d’expérimentation sans soudure, ne reste plus qu’à souder les composants et le tour est joué.


proto-1 proto-2 proto-3

proto-4


Les photos c’est bien mais une vidéo c’est encore mieux ;-).

Circuit imprimé



circuit-imprime-3straps


Réalisé sur simple face, avec un petit strap comme vous pouvez le constatez sur la photo de droite. Pas de circuit imprimé proposé, juste l’implantation en 3D pour faire jolie ;-). Je tiens à signaler une chose, le circuit imprimé ne fonctionne pas sous une tension externe régulé, ni sur le secteur directement (je vous déconseille fortement) mais sous une pile de 9V.

Historiques


19/09/14
– Correction sur la valeur du courant pour les positions des potentiomètres.
06/09/14
– Première mise à disposition.

Dernière mise à jour le 13/12/2014

Présentation



implantation-12
Ce montage électronique sans prétention, permet de faire de la variation d’intensité lumineuse à partir d’un réseau alternatif 230V/12V (50Hz). Il utilise un microcontrôleur de la famille PIC 12F.
Ce PIC est cadencé grâce à son horloge interne de 4Mhz avec un rapport de 4. Les coups d’horloge seront 4 fois plus lents. Ce montage électronique a été entièrement testé sur ma platine de développement EasyPic 7 dans l’environnement MikroPascal.

Schéma



gradateur-6


Alimentation principale
L’alimentation du montage est effectuée sous une tension de 230V/12V, un transformateur de 42Va suffit amplement. Il serait intéressant d’effectuer des calculs pour visualiser la forme du courant au secondaire du transformateur. Bon je ne veux pas vous faire peur avec ces 10 pages de calculs mais tous est situé dans la Note de calcul .
Tiens cela ressemble drôlement à notre courant qui circule dans la lampe…


calculatrice


Régulation 5Vdc
L’alimentation de notre PIC12F675 se fait sous une tension de 5Vdc, je vous déconseille plus.


Cœur du montage
Basé sur un PIC12F675, celui-ci est le chef d’Orchestre du système. En effet il décide lui-même de diminuer ou d’augmenter le retard de l’angle à l’amorçage lorsque nous agissons sur le potentiomètre RV1. LA broche GPIO.0 analyse chaque fois que le réseau passe par zéro, chaque détection du passage à zéro donnera un « top » pour le retard de l’angle à l’amorçage. Le potentiomètre RV1 quand à lui retardera ou non cet angle.


Aperçu du fonctionnement par graphe
oscilloscope


Ci-dessous mon oscilloscope numérique indiquant chaque retard à l’amorçage par rapport à la tension redressée


sans-titre

Logiciel du PIC


Non disponible sur le site

Prototype



essais-1 essais-2 essais-3

proto-10 proto-11


En fonction de la valeur du potentiomètre RV1 comme vous pouvez le constater l’intensité lumineuse change.

Circuit imprimé


Aucun

Historiques


13/12/14
– Première mise à disposition.

Dernière mise à jour le 05/10/2014

Présentation


Un autre gradateur de lumière ??!! Oui mais celui-là est différents des autres, il s’agit d’un gradateur plus élaboré. Effectivement si je peux me permettre, celui-ci commande 4 sorties en PWM, avec seulement 2 potentiomètres. Ces potentiomètres ont les particularités d’avoir un effet « mémoire ».
Pour plus de détails pourquoi par lire la suite de ce présent article ?

Schéma



gradateur-de-lumiere-004
partie-commande


Un autre gradateur de lumière ??!! Oui mais celui-là est différents des autres, il s’agit d’un gradateur plus élaboré. Effectivement si je peux me permettre, celui-ci commande 4 sorties en PWM, avec seulement 2 potentiomètres. Ces potentiomètres ont les particularités d’avoir un effet « mémoire ».
Pour plus de détails pourquoi par lire la suite de ce présent article ?


Alimentation
Concernant l’alimentation, nous avons à faire à un régulateur de tension type 78L05, comme vous pouvez le constatez celui-ci permet de limiter la tension à 5Vdc, ce qui est super puisque le PIC 16F88 demande une plage de tension comprise entre 2V à 5,5V. En ce qui concerne le courant de sortie du régulateur, nul besoin de demander des centaines d’ampère aux moins pour que le PIC fonctionne, non, et non. Le régulateur peut fournir jusqu’à 100mA, ce qui est plutôt bien pour notre montage. Ah ou ! J’avais oublié, éviter de mettre en sortie des appareils demandant beaucoup plus que 100mA, d’ailleurs je vous laisse réfléchir pour augmenter la puissance en sortie des connecteurs J1/J2/J3/J4.


Mode (1/2)

Sélection du Mode (1/2) tous simplement par l’appui sur le bouton poussoir nommé Bp1.

1er appui :
Le premier appui sur Bp1 sélectionne le Mode(1), seul le potentiomètre RV1 agit sur la sortie Out_Pwm1, celui-ci règle la valeur des sorties PWM de 0% à 100%.
bp1-1-appui


2ème appui : Le deuxième appui sur Bp1 sélectionne le Mode(2), seul le potentiomètre RV1 agit sur la sortie Out_Pwm2, celui-ci règle la valeur des sorties PWM de 0% à 100%
bp1-2-appui

>
3ème appui : Le troisième appui sur Bp1 permet de mettre en évidence les réglages des sorties Out_PWM1 et Out_Pwm2, qui sont mémorisés.
bp1-3-appui


4ème appui : Le quatrième et dernier appui sur Bp1 permet de passer au Mode (3/4), et nous devons appuyer sur le Bp2 pour incrémenter le mode(3/4) qui est expliqué ci-dessous.
bp1-4-appui


Mode (3/4)
Ce mode est identique que le précédent à quelque chose près, puisque maintenant nous agissons sur le Bp2, et sur le potentiomètre RV2, suffit maintenant de faire le même manipulations que les fonctions du Mode (1/2).


Aperçu du fonctionnement par graphe
Les graphs qui suivent montres les signaux en sorties de notre gradateur de lumière, j’ai modifié les réglages des potentiomètres RV1 et RV2, avec un réglage de RV1 à 50% pour Out_PWM1, puis 100% pour Out_PWM2, 10% pour pour Out_PWM2, et pour finir 80% pour Out_PWM3.
out-pwm-1-2out-pwm-3-4

 

Logiciel du PIC


Aucun

Prototype



proto-5
proto-6
proto-7


Testé et développé sur la platine EasyPic V7. Noter l’afficheur LCD 2×16 Caractères.


pwm-1-2 pwm-2-3 out-pwm

La photo la plus à droite, montre 4 les qui, comme on peut le constater sont allumées en commnçant par la gauche de plus en plus fortes. Les sorties PWM qui pilotent ces 4 LEDs sont réglés de telle manière :

  • Out_Pwm1 => pilote la 1er LED pour un signal PWM à 10%.
  • Out_Pwm2 => pilote la 2ème LED pour un signal PWM à 20%.
  • Out_Pwm3 => pilote la 3ème LED pour un signal PWM à 50%.
  • Out_Pwm4 => pilote la 4ème LED pour un signal PWM à 100%.


4 Sorties pour uniquement 2 potentiomètres (RV1 et RV2).

Circuit imprimé


Aucun

Historiques


05/10/14
– Première mise à disposition.

Dernière mise à jour le 15/08/2014

Présentation



implantation-7


Avec très peu de composants composant pour ce montage qui ne nécessite pas à ce tirer les cheveux (quoique …..), il s’agit d’un montage plutôt fantaisiste basé sur une variation de lumière progressive. Deux LEDS qui, en fonction du rapport cyclique transmis à chacune d’elle celle-ci voit à leurs tours une augmentation et une diminution progressive de luminosité.

Schéma



garadteur-2


Fonctionnement
Une première LED s’allume et s’éteint de façon progressive grâce à un signal PWM situé sur la broche GP0 du PIC, la seconde LED suit le mouvement mais en sens inverse (sa luminosité baisse quand la luminosité de l’autre augmente).


Alimentation
Le PIC 12F675/12F629 se fait sous une tension comprise entre 3V et 5V, il est possible de relié e montage grâce à une simple pile en passant par un régulateur de tension (non représenté sur le schéma électronique), je vous laisse chercher un peu comment faire une alimentation régulée.

Logiciel du PIC


Aucun

Prototype



20140816-154017 prototype-2-2- prototype-2-1-

 

Circuit imprimé



circuit-imprime-1cote-pistes

Typon au format PDF  / Composants

Historiques


15/08/14
– Première mise à disposition.

Dernière mise à jour le 15/08/2014

Présentation


Ce montage électronique a l’avantage d’avoir deux modes de fonctionnement (Mode gradateur ou non).

Schéma



gradateur-002


Alimentation
L’alimentation peut se faire sous une tension pouvant supporter 12V, un simple régulateur de tension suffit, vous pouvez opter pour une alimentation redressé ou bien une pile de 9V, vous avez le choix.


Potentiomètre RV1
Le potentiomètre RV1 permet de régler le rapport cyclique du signal PWM entre 0% et 100%.
0%=>0V
20%=>1V
40%=>2V
90%=>4,5V
100%=>5V


Mode gradateur ou non rôle de Bp1

En Mode gradateur : Le Bp1, doit être un bouton type accroche ou petit interrupteur, comme le montre la vidéo un peu plus bas. Lorsque le Bp1 est enfoncé, seul le potentiomètre RV1 fait varier le rapport cyclique , ainsi vous vous retrouvé avec un signal PWM qui dépend de RV1.
En mode non gradateur : lorsque le bouton Bp1 est désactivé, le potentiomètre est désactivé et le Bp2 permet de faire fonctionner la sortie en tout ou rien.


Sortie puissance

La sortie du signal PWM ce fait sur la broche 7 (GP0), et sur cette même pattes j’ai opté pour mettre en sortie un transistor type MOSFET. Puisque la broche 7 nous donne un signal PWM compris entre 0 et 100%, le transistor MOSFET va « isolé » la partie commande de la puissance. L’avantage de ce MOSFET, c’est que vous pouvez brancher en sortie des charges pouvant monter jusqu’à plusieurs ampères, dans mon cas je n’utilise seulement une petite ampoule (luciole) qui elle absorbe un courant d’environ 40mA sous une tension de 12V.

Logiciel du PIC


Aucun

Prototype


Une petite vidéo c’est mieux!!

Circuit imprimé


Aucun

Présentation


15/08/14
– Première mise à disposition.

Dernière mise à jour le 09/02/2014

Présentation


implantation-2circuit.imprime.cote.pistes

Ce montage utilise un PIC 12F675, programmé pour avoir en sortie un signal PWM, réglable via le potentiomètre RV1. La valeur du rapport cyclique varie de 0% à 100%, une petite lampe type luciole permet d’observer la variation de lumière lorsque le rapport cyclique varie.

Schéma



gradateur-001


Principe de fonctionnement
Une entrée une sortie, l’entrée mesuré sur la broche GP0/AN0 est une tension comprise entre 0V et 5V, ce qui donne pour 0V 0% et 5V 100%, effectivement l’entrée varie en fonction de la position du potentiomètre RV1 qui lui fera varier le rapport cyclique du signal PWM, la commande permet de faire varier la luminosité d’une lampe type luciole.
Aperçu du fonctionnement par graphe


RV1 à 0%
rv1.a.0.


RV1 à 50%
rv1.a.50.


RV1à 100%
rv1.a.100.


Cliquer sur les graphes pour les voir en plus gros

Schéma 001a



gradateur-001.-version.leds-

Le montage proposé est une version à leds, le fonctionnement est identique au précédent, je vous laisse le choix pour la luminosité des leds en fonction de la résistanc R2, à vous de calibré cette résistance, j’ai choisi une résistance de 330 Ohms pour un courant d’environ 10mA. on pourrais diminuer cette valeur pour obtenir un courant proche de 20mA.

Logiciel du PIC


Aucun

Prototype



En ce qui concerne les photos elles montrent que nous pouvons utiliser une pile de 9V pour faire fonctionne le prototype d’ailleurs qui fonctionne très bien,


luciole.-2-


Ce montage permet de montrer qu’il est possible de faire varier la luminosité d’une petite ampoule type luciole avec un PIC12F675. Gros pan sur l’ampoule luciole de 12V qui fonctionne sous 9V ;-).


luciole.-1-

Circuit imprimé



circuit.imprimeimplantation.001


Typon format PDF

Historiques


09/02/14
– Première mise à disposition.