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Présentation


implantation-compteur-002
Ce compteur électronique, comme son nom l’indique permet de compter ou décompter un certain nombre de pièce jusqu’à 99 et remise à zéro automatique. Nous verrons en détails le fonctionnement de ce montage, je vous laisse le code source au format (*hex), ce compteur a été testé sur la platine EasyPic 7.

Schéma 002a



compteur-002a


Alimentation régulée L7805C
Nous avons à faire à un régulateur de tension positive +5Vdc, la tension d’alimentation en entrée peut se faire sous une tension continue comprise entre 7,5V et 18V. Comme vous pouvez le voir le PIC 18F45K22 peut fonctionner sous une tension inférieur à 5Vdc. Je vous déconseille fortement de ne pas alimenter ce PIC sous une tension supérieur à 5Vdc sous peine de le détruire.


Afficheurs 7 segments
J’utilise pour ce montage des afficheurs à anode commune, l’ensemble des leds (affichage 7 segments) sont reliées à des résistances d’une valeur de 330 Ohms, il est possible de diminuer à 160Ohms pour avoir un affichage un peu plus fort. Attention à ne pas être en dessous vous risquerez de ne plus rien voir du tout !


Changer les chiffres

Oui bien entendu, le but recherché est d’incrémenter ou de décrémenter le comptage. Chaque pression sur le bouton poussoir Inc (incrémente), incrémente de 1 la sortie du port D, puis lorsque la dixième incrémentation arrive, le port C prend le relais, et ainsi de suite jusqu’à la valeur 99. A la centième pression sur le bouton poussoir, nous avons une remise à zéro de l’afficheur, et un nouveau cycle est disponible et ça à volonté.

Schéma 002b



compteur-002b


Des boutons poussoirs qui se transforment en capteurs

Le schéma ci-dessus est une version basé sur des diodes infrarouges (IR), qui permet d’incrémenter (0 à 99) ou de décrémenter (99 à 0), même fonctionnement que les schéma 001a à quelque chose près., puisque nous utilisons des diodes IR et non des boutons poussoirs.

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Mode Inc / Dec

Il est possible par l’intermédiaire d’une commande à distance (relais, bouton, ou autres organes mécaniques…) le mode de fonctionnement. Lorsque le cavalier est en postion Inc, le compteur ne fait que d’incrémenter, d’ailleurs je tiens à vous signaler que lorsque le mode est en postion Inc, le compteur compte de 0 à 99 et recommence son cycle, lorsque la valeur passe de 99 à 0, par contre, lorsque le cavalier est en position Dec, le compteur décrémente mais une fois arrivé à zéro il ne recommence pas son cycle en partant de 99.


Led D1 et D2

Ces leds sont faculatives, puisque elle pemet uniquement d’avoir un aperçu lorsque le cavalier est en position Inc ou Dec, il est vrai que pour une commande à distance il est plus facile de voir d’un seul coup d’oeil la position du mode Inc/Dec.

Partie commande



schema-commande-compteur-002b


La partie commande permet de gerer toute la partie incrémentation, en effet, lorsque nous somme en position Inc (incrémenter), c’est la partie de gauche qui fait le travail, lorsque l’infrarouge est en direct sur le récepteur type LTR-4208, cette diode est passante et on se retrouve à environ une tension égale à zéro volt (théorique) à ses bornes, mais…mais en pratique ce n’est pas le cas !!!.
En ce qui concerne l’AOP, celui-ci joue le rôle de comparateur, effectivement lorsque la tension sur la borne non inverseuse (E+) est supérieur à la borne inverseuse (E-), alors la tension en sortie de l’AOP est 0V (AOP relié à au 0V de l’alimentation) et cas contraire la tension en sortie de l’AOP est environ +Vsat.
Je tiens quand même à vous signalé que en sortie de l’AOP (TL071CP) la tension n’est pas vraiment de 0V, le rôle de (R23/R24/R29/R30), permet de modifier la tension pour éviter que le transistor soit toujours passant (saturé), je vous laisse réfléchir pourquoi 😉


Input comme entrée

La tension admissible sur les l’entrées du PIC 18F45K22 ne doit pas être supérieure à la tension d’alimentation, il faut donc utiliser la tension d’alimentation pour alimenter les entrées du PIC c’est plus judicieux ;-).
Niveau courant, essayer de mettre une résistance de tirage « Push/pull » de 1Mohm, vous allez voir le PIC ne réagit pas, essayer une résistance de 10Kohms c’est déjà mieux…
En effet les courants en sortie ne doivent pas être supérieur à 25mA,s i le PIC18F45K22 dispose au total de 35 I/O (Input/Output), il en résulte que le courant max consommé serais de (0,025*35=0,875mA !!) Aïe !!!Aïe !! Aïe! si toutes les sorties étaient activées cela voudrais dire que le courant consommé par le PIC est de 0,8A ??
Regardons un peu plus près le datasheet au niveau des caractéristiques électriques il est stipulé que :
Idd(max)=200mA Courant max pour l’ENSEMBLE des ports activés -> 200mA
Ioh(max)=25mA

Avec un courant de 0,8A notre PIC va par faire longtemps, hum…! il faut revoir les courants de sortie en changeant la valeur des résistances de sorties?.
Le courant de sortie Ioh doit donc être inférieur à 25mA et plus précisément Ioh=5mA car 0,005*35=175mA (un peu en dessous), mais pour 6mA 0,006*35=0,210mA (un peu au dessus). Nous retiendrons donc 5mA. (ce n’est pas les 714µA qui vont faire la différence ).

Logiciel du PIC


Aucun

Prototype


Compteur 002a

test-1

test-2

test-3

test-4

test-5

test-6


Compteur 002b

test-7

test-8

Circuit imprimé


Aucun, testé uniquement sur la platine EasyPic 7.

Historiques


– 05/07/14
Rajout du compteur 002b
– 29/06/14
Première mise à disposition.

Présentation


implantation-4


Ce compteur comme son nom l’indique compte de 0 jusqu’à 2400 et reprend son comptage à zéro. L’ensemble peut être alimenté sous une tension comprise entre 8Vdc à 20Vdc. Le PIC 18F45K22 s’occupe de tout.

Schéma



compteur-001


Alimentation
l’alimentation du PIC se fais par l’intermédiaire d’un régulateur de tension pour obtenir en sortie 5Vdc, à vous d’alimenter ce régulateur avec une tension redressé ou par le biais d’un petit adaptateur par exemple.


PIC 18F45K22
Le microcontrôleur, permet de donner sur l’ensemble de ses broches des signaux binaire « 0 » ou « 1 », les broches du PIC 18F45K22 sont raccorder sur le 7447 qui lui décode les informations venant du PIC et retranscrit en sortie pour alimenter les afficheurs 7 segments.
La vitesse du comptage se fait à une fréquence de 1Hz soit 1sec. Toutes les secondes le compteur incrémente de 1 jusqu’à 2400 pour recommencer son cycle. On peut surveiller le comptage grâce à la led D1 qui s’allume à une fréquence de 1Hz (chaque secondes).


SN7447

L’utilisation de ce décodeur binaire, permet de limiter les sorties des broches du PIC, en effet pour alimenter l’afficheur 7 segment soit 7 leds il faut 7 broches, le SN7447 lui comporte entrée 7 broche dont quatre suffit pour alimenter un afficheur 7 segments. l’alimentation du SN7447 peut se faire sous une tension max de 15V, ici la tension sera de 5Vdc suffisant pour alimenter le SN7447.



Afficheur 7 segments

l’afficheur utilisé (afficheur standar), comprend bien entendu 7 led qui celle-ci supporte un courant 20mA, pour une telle intensité, pour un lambda de 660nm. les résistance étant de 330 Ohms va limiter le courant à environ 15mA.

Logiciel du PIC


Aucun

Circuit imprimé


Aucun

Historiques



31/05/14
– Première mise à disposition

Dernière mise à jour le 25/02/2018

Présentation


presentation
Oh un girofard!!! et oui rien de bien compliquer saudfen ce qui concerne la programmation…

Schéma


clignotant-001

Fonctionnement
Une pile et c’est fini, il suffit simplement d’avoir 9V.

 




 


Régulation
Évidemment inutile de brancher directement la pile sur notre PIC18F88 sous peine de le griller  et pour le coup vous auriez besoin d’appeler les pompiers.

Logiciel du PIC


Oui!! les voici:
MikroC
MikroPascal
Fichier.HEX

Circuit imprimé


Aucun

Historiques


– 25/02/17
Première mise à disposition.

Présentation


implantation-3

Ce montage électronique, mais surtout de gadget qui est basé sur un PIC 12F675, permet de faire différentes figures lumineuse (Clignotant/chenillard).
Lorsque nous appuyons sur le bouton poussoir , le PIC scrute le programme qui dure environ une dizaine de seconde, le cycle est lancé et les leds s’allument de différentes façons.

Schéma


chenillard.002

Alimentation
Oui, je ne sais pas si vous avez remarquez, mais l’alimentation utilisé est de 5V, je vous laisse choisir le type d’alimentation que vous désirez ajouter pour faire fonctionner ce petit montage électronique. Il est possible de faire fonctionner ce montage avec une pile de 9V à conditon de rajouter an aval un régulateur de tension qui alimente sous une tension comprise en 3V et 5V, ne pas brancher ce montage directement sous une tension supérieur à 5V.


Résistances
Les résistances R1 à R5 sont ici pour avoir un courant proche de:
10mA
R=(5-2,2)/0,010=300 Ohms
20mA
R=(U-Uled)/Iled si vous désirez avoir un courant de 20mA avec une tension aux bornes de la led de 2V, les résistances de R1 à R5 seront de:
R=(5-2,2)/0,020=150 Ohms


Je vous laisses faire les calculs à l’aide de la formule R=(Ualim-Uled)/Iled

Logiciel du PIC


Aucun

Circuit imprimé


Auncun

Historiques


23/02/14
– 1er mise à disposition

Dernière mise à jour le 25/02/2018

Présentation



Un montage qui permet de faire l’effet « chenillard », en utilisant un PIC 12F675. J’ai utilisé des leds bleu cela change de l’ordinaire mais peu importe la couleur du moment que ça clignote, c’est le principal!!

Schéma



Le bouton poussoir Bp1, permet de modifier l’effet du chenillard, soit 1 led soit 2 leds qui s’allumer successivement. Schéma simple mais au niveau de la programmation tout passe par les interrutpions du PIC12F675.
Une petite remarque, je n’ai pas intégré le bouton Bp1 dans le circuit imprimé, mais je vous laisse le soin de le positionner entre la broche n°4 du PIC 12F675 et le 0 V de l’alimentation. ce sera un bouton déporté…

 

 

Logiciel du PIC


Oui disponible ci-dessous:
MikroPascal
MikroC
– Et pour finir le Fichier.HEX

Circuit imprimé


Emplacement des composants
Typon au format PDF

Historiques


– 25/02/2018
Première mise à disposition

Dernière mise à jour le 18/02/2018

Présentation


Comment afficher une valeur analogique en une valeur numérique et que celle-ci peut être lue sur un afficheur 7 segments multiplexé ? En voilà une de bonne question !
Le microcontrôleur qui sera utilisé pour lire une valeur analogique sera un PIC 16F88, car ce contrôleur à la particularité de posséder 7 canaux analogique / numérique, déjà un bon point.
 




 
L’entrée analogique se fait sur 10 bits ce qui donne 1023 possibilités. Pour une tension maxi de 5V à ses broches, la tension analogique et convertie en une valeur numérique qui correspond pour 5V 1023, pour 0V nous avons 0, il suffit de faire le produit en croix (ou règle de trois) pour trouver la valeur numérique. Mais vous avez de la chance car cette régle est déja intégré dans le programme du PIC donc nul besoin de prendre de calculette.

Schéma


test-afficheur-002
(Clique pour agrandir)

Fonctionnement

Le schéma électronique propose un fonctionnement en multiplexage, et vous devez surement vous posez la question en vous demandant comment peut-on allumer 2 afficheurs 7 segments en utilisant les même sorties du PIC ??!! Oui !! Et bien vous savez quoi c’est ce que nous allons voir maintenant.
Afin d’aborder le multiplexage, nous allons utiliser 2 manières pour programmer le PIC18F88.
 
La 1er manière est celle d’un débutant tout comme moi qui veux arriver à faire allumer deux affichages à l’aide de deux transistors (Q1 et Q2). Le principe est le suivant, c’est de pouvoir piloter les deux transistors Q1 et Q2 à tour de rôle, c’est-à-dire que lorsque le transistor Q1 est 100% passant, le transistor Q2 lui est bloqué, puis vice versa, Q1 bloqué et Q2 passant.
 
Dans ces 2 cas de figures, il suffira donc de scruter au bon moment un petit bout du programme qui permettra de lire soit les dizaines, soit les unités. Ainsi, vous allez vous retrouver avec un afficheur 7 segments allumée pour les dizaines, et éteint pour l’unité, et vice versa tout en modifiant la lecture du programme.
 
En ce qui concerne la 2ème manière, celle-ci est plutôt d’un niveau confirmé. En effet, plutôt que de mettre une temporisation qui celle-ci ne fait que de stopper la lecture du programme, nous allons interrompre le programme principal d’une manière plus élégante en utilisant les interruptions du PIC 16F88. Ainsi comme précédemment toutes les secondes les valeurs seront affichées sur l’affichage 7 segments – tantôt l’un tantôt l’autre.

Multiplexer c’est quoi ?

On parle de signaux multiplexés lorsque sur un seul fil nous envoyons plusieurs données les unes à la suite des autres. L’avantage de multiplexer des informations, nous utilisons moins de fils de liaison électrique, et d’un point de vu général nous faisons des économies de fils.

Fonctionnement sans interruptions – delay_ms(1000)


Vous trouverez en programmation les logiciels:
MikroPascal-Sans_Interuptions
MikroC-Sans_Interruptions
 
Afin de pouvoir intervertir entre le transistor Q1 et le transistor Q2 Il suffira de mettre des temporisations de type delay_ms(1000) ce qui pendant toutes les secondes, pendant que Q1 et passant Q2 est bloqué, puis ensuite une seconde après c’est Q1 qui est bloqué et Q2 passant.
 
Cette méthode est plutôt facile puisque nous utilisons seulement des tempos. Par contre au niveau du programme celui-ci s’arrête de fonctionner toutes les secondes ce qui n’est vraiment une des meilleures solutions, mais bon !!! Peu importe du moment que cela fonctionne !!
J’ai mis un delay de 1sec rien ne vous empêche de mettre moins, d’ailleurs je vous conseille 20ms à cette vitesse la persistance rétinienne ne verra pas les clignotements des deux afficheurs

ADC_Read(x)

La lecture de la tension est faite sur la broche RA0 du PIC. En faisant varier le potentiomètre RV1 celui-ci fera varier la tension qui est comprise entre 0 et 5V.
 
La broche RA0 étant configurée comme une entrée analogique, cette tension analogique (0 ..5V) sera convertie en une valeur numérique (0..1023), c’est ce qu’on appel une conversion Analogique/Numérique (A/N).
Cette lecture est réalisée par la routine ADC_Read(x) (x qui correspond à l’entrée qui sera lue dans notre exemple il s’agit de la broche 0)

Affichage des valeurs converties

Comme son non l’indique l’afficheur permettra de donner les informations des tensions lues sur la broche RA0 du PIC16F88. La particularité c’est de pouvoir indiquer avec 1 chiffre après la virgule.

Fonctionnement avec interruptions


Dans ce mode de fonctionnement, nous allons utiliser les interrutpions du PIC, je vous laisse voir les programmes:
MikroPascal-Avec_Interuptions
MikroC-Avec_Interruptions
– Et pour finir Fichier(.hex) qui pourra être injecté directement dans le PIC16F88

Réglages “EDIT PROJECT”


Merci de respecter ces captures ci-dessous pour le bon fonctionnement du programme que vous pouvez télécharger ci-dessous


Pour tout le reste il suffit de désactiver.

Logiciel du PIC


Oui plein voir ci-dessus (x4)

Prototype


 
proto-18 tets-2

test-15 test-16

Circuit imprimé


Non disponible sur le site

Historiques


– 18/02/18
Ajout réglages “EDIT PROJECT”.
– 17/02/18
Ajout programmes MikroPascal et MikroC + fichier(.HEX) pour tests.
– 17/01/14
Première mise à disposition.

Dernière mise à jour le 14/02/2017

Présentation


implantation-13

Un afficheur à led pour potentiomètre pour être exact !!. Oui, en effet, un afficheur comme son nom l’indique permet de montrer grâce à des leds la position du curseur du potentiomètre. Que dire de plus ? Ah !! J’avais oublié que ce montage électronique fonctionne grâce à un PIC 16F88 et qui fonctionne sous une alimentation de 9Vdc régulé à 5Vdc.

Schéma


afficheur-4

Alimentation principale
Une simple pile rectangulaire suffit, le montage n’est pas très gourmand de ce coté là.

 




 


Cœur du montage
Un microcontrôleur de la famille 16F va venir s’occuper de tous ce qui est autour de lui. L’entrée analogique qui est présente sur la broche RA0, contrôle en permanence la tension présente sur cette même broche. Les tensions sont comparées et vont à tour de rôle commandées les leds.
Je n’ai pas représenté le Quartz de 8Mhz sur le schéma pour éviter de trop l’encombrer.

Logiciel du PIC


Oui!! et avec les deux langages de programmation en MikroPascal et MikroC

Protoype



proto-12

proto-13

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

test-14

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

test-13

test-12


Si vous regardez la photo 3, la position du potentiomètre est à envrion 3/10 ème , pour la photo 2 celui-ci est à une position des 7/10 ème ,et la photo 5, le potentiomètre est en positon des 10/10 ème. (Si on regarde les 3 dernières photos, j’ai connecté le 0V à droite du potentiomètre, mais en réalité la masse est à gauche voir sur le schéma électronique).

Circuit imprimé


Aucun

Historiques


– 14/02/17
Ajout logiciel programmation en MikroPascal et MikroC
– 28/12/14
Première mise à disposition.

 

Dernière mise à jour le 15/12/2013

Présentation
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Comment amorcer un Thyristor ? je me suis toujours posé cette question à l’école, je me rappel en cours de physique, toutes ces courbes, lorsque le thyristor s’amorçais…, Mais par contre j’ai toujours voulu comprendre comment on faisait électroniquement pour justement amorcer ce thyristor. A vrai dire, j’ai cherché sur internet il y’a 5 à 7 ans en arrière mais je trouvais rien qui puisse m’expliquer correctement le fonctionnement interne de l’amorçage du thyristor, à part voir des synoptiques, ou des blocs avec des dessins qui représentent l’impulsion retardé par rapport à l’impulsion de départ, cela ne m’expliquais pas plus.


Le thyristor
Simplement pour rappel, le thyristor est un interrupteur électronique semi-conducteur qui peut être commandé à l’allumage, par la gâchette (G), mais pas à l’extinction qui est provoquée par le passage du courant principal I(A)( anode / cathode) à une valeur inférieure au courant de maintien appelé Ith. Pour ceux qui sont intéressé vous pouvez voir Théories thyristor / triac


Comment amorcer un Thyristor
Nous y voilà !! Bon, déjà il faut s’avoir que pour crée un angle de retard à l’amorçage, c’est par rapport au zéro de la sinusoïde. A chaque passage du zéro de la sinusoïde, et il faut retarder l’amorçage du thyristor pour obtenir « des morceaux « de cette sinusoïde.


Pourquoi faire ça ? Pourquoi obtenir des morceaux de la sinusoïde ?
Un signal sinusoïdal complet (par exemple le secteur EDF 50Hz), si nous prenons un voltmètre en position AC et que nous mesurons sa valeur cette valeur lu par le voltmètre sera d’environ 230VAC. Maintenant admettons que l’alternance positive (uniquement cette partie), est que nous supprimons la partie gauche, il nous reste plus que la partie droite du signal. Si maintenant on mesure cette tension, cette valeur ne serais plus de 230VAC mais inférieur à celle-ci. La tension étant plus faible, et que nous désirons de brancher par exemple lampe qui fonctionne sous 230V et que celle-ci est alimentée par une tension plus faible la lampe ne s’éclaira pas aussi fort que si elle était alimentée directement à partir d’une source 230VAC. Dans ce cas moins de tension, moins de courant, moins de puissance, donc moins de luminosité.

Schéma
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retardateur-1.d

Filtre RC
Vous l’avez vue ? la mise en place du filtre RC est présent, mais pourquoi ? Tous simplement le réseau étant alternatif, la présence d’une cellule RC permet de créer un déphasage entre la sortie et l’entrée (l’entrée qui correspond à la tension en sortie du transformateur). Ce qui intéressant avec une cellule RC (ou filtre), c’est que la mise en place d’un potentiomètre à la place d’une résistance permet de faire varier cette tension de sortie. Lorsque RV1 est en postion haute (curseur proche de la tension en sortie du transformateur), la tension de sortie est égale à la tension d’entrée, pas de déphasage. Maintenant lorsque le potentiomètre RV1 est en postion basse (curseur proche du condensateur C1), la tension de sortie est plus faible que la tension d’entrée, mais elle est aussi déphasé (ce déphasage est obtenu grâce au condensateur C1).


Redressement
En sortie du filtre, La tension en sortie du transformateur étant d’environ 16V (valeur efficace), la valeur crête est donc de Vmax=16*racine de 2=22.64V. Nous récupérons la tension aux bornes du condensateur C1 et cette tension varie en fonction de la position du potentiomètre RV1 que nous verrons un peu plus loin. D’ailleurs, cette tension est appliquée sur l’anode de la diode D1 qui va permettre de redressé le signal. Cette tension est redressée sur la cathode de la diode D1, L’alternance positive à une valeur max de 22V (chute de tension dans D1 d’environ 0,6V) lorsque RV1 est en position haute (curseur proche de la sortie du transformateur) de plus l’alternance négative est supprimée. Ce montage permet donc de supprimer toutes les alternances négatives. La tension en sortie du transformateur étant d’environ 16V (valeur efficace), la valeur crête est donc de Vmax=16*racine de 2=22.64V.


RV1 Position haute : Lorsque le potentiomètre RV1 est en position haute (curseur proche de la sortie du transformateur), la tension se retrouve aux bornes du condensateur C1, dans ce cas la tension de sortie est égale à la tension d’entrée du transformateur, il n’y a pas de déphasage entre la tension d’entrée et la tension de sortie (la tension de sortie est en phase avec la tension d’entrée).
Uc1(tension de sortie)=Ve(tension d’entrée dans ce cas Vsmax=22,64V et Uc1=16,5V.


RV1 Position basse : Lorsque le potentiomètre RV1 est en position basse (curseur proche du condensateur C1), la tension est soumise à un pont diviseur de tension, le courant doit traverser toutes la résistivité du potentiomètre RV1. La tension aux bornes de C1 est égale à :
Uc1=Ve*(1/(1+RCw)) avec Ve la tension d’entrée (tension en sortie du transformateur) et w la pulsation avec w=2*3,14*50.
Attention le calcul de Uc1 n’est pas Uc1=Ve*(1/(1+RCw)), mais Uc1=Ve*(1/(1+jRCw)), avec « j » la lettre qui montre que nous somme dans les nombres complexes….
Ce qui nous donne :
Uc1=16,5*(1/(1+j(1000000*2*3,14*50*0,000000010))=0,3V Uc1=0,3V.


Rôle de la diode zéner
Voilà une partie très intéressante, après avoir déphasé notre tension par rapport à la tension d’origine (celle qui sort du transformateur), il faut donner un point de repère, c’est-à-dire un point qui permet d’amorcer le thyristor. A chaque passage du zéro de la sinusoïde que nous avons redressé, il faut retarder l’amorçage. Prenons deux exemples :
Lorsque le potentiomètre RV1 est en position haute (curseur proche de la sortie du transformateur), la tension aux bornes du condensateur étant en phase avec la tension de sortie du transformateur, le zéro de la sinusoïde est aussi en phase avec il n’ya donc pas de déphasage. La tension quand à elle évolue en fonction du temps (de façon sinusoïdale) 0V, 1V, 2V, 3V etc… Lorsque la tension va arriver à environ 3,9V (0,6 chute de tension base émetteur plus la chute de tension de la diode zéner 3,3V), la diode zéner va être passante et le courant de base est limité par la résistance R2. Bon vous allé me dire que nous somme un peu déphasé par rapport au zéro de la sinusoïde à cause de la diode zéner, je vous répond que oui, mais nous somme pas non plus à quelque degrés de déphasage près, cela suffit pour faire varier la luminosité de notre petite ampoule type luciole. Maintenant lorsque le potentiomètre RV1 est en position basse, la tension est égale à :


Transistor Q1
Merci à toi transistor de nous servir d’interrupteur tout ou rien. Lorsque celui-ci est saturé, la tension au potentiel Vg (tension de gâchette) est nul (proche de 0V), et lorsque le transistor Q1 est bloqué la tension Vg est égale à 5V. Le rôle de la résistance R6, permet de limiter le courant de gâchette.

Prototype
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prototype.2.-1- prototype.2.-2- prototype.3

Ci-dessous la variation du potentiomètre de gauche a droite permet d’obtenir différent éclairage la petite ampoule type luciole réagis bien…


Potentiomètreen bas
potentiomtre.en.bas


Potentiomètreau milieu
potentiometre.en.haut.-2-


Potentiomètreen haut
potentiometre.en.haut.-1-

 

Présentation
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Aucun

Dernière mise à jour le 12/01/2014

Présentation


Ce montage électronique basé sur un NE555 permet de générer des signaux en dents de scies (signal rampe), avec une rampe qui peut être modifié en faisant varier la fréquence à l’aide du potentiomètre RV1 et le potentiomètre RV2 permet de modifier l’amplitude de ces signaux en dents de scies. Je tiens aussi à signaler au passage que la fréquence peut varier de (environ 14Hz à 140Hz), 10 fois plus rapide.


Besoins d’aides je suis coincé aidez moi SVP !!!!


Pour ce montage électronique, j’ai utilisé un voltmètre, vous allez me dire c’est ridicule pour mesurer la fréquence qui varie entre 14Hz et 140Hz, et vous avez tous à fais raison !!! L’inconvénient pour moi c’est de mesurer précisément la fréquence en fonction de la variation de mon potentiomètre RV1 (chose que je ne peut pas faire en raison que je n’ai pas d’oscilloscope), mais l’avantage c’est que le faite d’avoir changé ma résistance R1 que j’ai passé à environ 50kOhms ma permis de voir sur le cadrans de mon voltmètre que la tension fonctionne en tout ou rien…hum c’est pas vraiment sérieux tous ça !!!!


J’aurais besoin de votre aide, si vous avez un oscilloscope sous la main, pouvez-vous réaliser ce montage électronique ci-dessous, et me prendre de super photo de ce que vous visualisez sur le cadran de votre oscilloscope. Il suffit de vous branchez en sortie (Out), on devrait avoir un signal en dents de scie (rampe de tension).

Schéma


Générateur dents de scies


NE555
Le circuit intégré NE555, est un peu le cœur du sujet, il permet de faire osciller l’ensemble du montage et « d’enclencher » la charge et décharge du condensateur C2, oui, je parle bien du condensateur C2 qui celui-ci est alimenté à courant constant à travers la résistance R2 et le potentiomètre RV2, (on verra plus loin le principe de chacun d’entre eux). Les composants qui entourent notre NE555, sont calculé afin d’obtenir une fréquence qui varie entre 14Hz et 140Hz, et d’avoir une décharge du condensateur d’environ 2ms quelque soit la fréquence utilisée.

Rôle de C2 et RV2

Tous d’abord avant de rentrer dans les détails, avez vous remarquez, Que le condensateur C2 se trouve en série avec le transistor Q1 et en parallèle avec le transistor Q2 ? oui !, le principe est le suivant, lorsque le potentiomètre est complètement à gauche, le courant ce voient donc obliger de traverser toute la résistivité du potentiomètre RV2 avant d’arriver au condensateur, le courant étant ralentit via RV2, le condensateur mettra un certain temps avant d’arriver à sa charge maximum. Dans le cas inverse, lorsque le potentiomètre est complètement à droite, le courant est maintenant limité par la résistance R2, la valeur étant de 100 Ohms, le condensateur ce chargera très rapidement. Vus l’avez compris en faisant varier RV2, nous faisons varier le temps de charge du condensateur.


Régulateur de tension


regulateur.de.tension


Simplement 3 composants feront l’affaites, ce régulateur qui juste la pour me permettre d’avoir une tension stabilisée de +5Vdc. J’avais du 9Vdc, mais qui peu le plus peu le moins après tous.


Aperçu du fonctionnement par graphe
graphes-4

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Prototype



prototype-1
switch-1
Les switchs permettent d’alimenter ma plaque sans soudure.
regulateur-2

Regulateur
Un petit régulateur de tension stabilisé +5Vdc, ah oui un petit détail, lorsque j’ai évoqué le régulateur de tension j’ai parlé de 3 composants en réel il y’en à 4 si vous regardez bien, il y’a 2 résistances (1×100 + 1×20), tous simplement c’est qu’il me manque aussi des résistance de 120Ohms (il va falloir que je me munie d’un oscilloscope et de résistances…).

Circuit imprimé


Aucun

Historiques


12/01/2014
– 1er mise à disposition

Dernière mise à jour le 02/10/2016

Présentation


Un filtre sélectif avec un grand OUI !! et sur quelle fréquence ?! Calibré sur 150Hz, 250Hz puis 1500Hz avec une bande passante assez large comprise entre 45 et 500Hz théorique pour une fréquence de coupure de 150Hz et une bande passante comprise entre 75Hz et 825Hz théorique pour une fréquence de coupure de 250Hz, puis une bande passante comprise entre 454Hz et 4954Hz et encore une fois théorique !

Schéma


filtre-selectif-2

Entrée
L’entrée du montage permet de fixer l’impédance à environ 50Kohms grâce aux duo R1 et R2. Le condensateur C1 permet d’empêcher à ce qu’une composante continue vienne influencer le circuit électronique. D’autre part, cette même entrée joue le rôle de gain d’une valeur de deux fois le signal d’entrée qui celui-ci ne doit pas dépasser une amplitude de 1V soit 2V crête à crête ce qui donne une valeur efficace d’environ 707mV. L’AOP basé sur un TL072 U2 :A permet de faire un 1er filtrage pour une valeur moyenne d’environ 1Khz, afin de traiter une premier fois les signaux qui s’offrent à lui. Lorsque les signaux se retrouverons en sortie de ce premier AOP ils verront 3 chemins qui auront différentes fréquences de coupures 150Hz/250Hz/1500Hz.


Etage 150Hz
Le premier filtre est choisi afin d’obtenir une fréquence de coupure à 150Hz, à une telle fréquence la fonction de transfert de ce filtre est de 2/3 multipliée par la tension reçu de l’AOP U2 :A.
Exemple à 150Hz:
Si l’amplitude du signal en entrée est de 1V pour une fréquence de 150Hz la sortie (Out1) est égale à Ve*2*(2/3)=1*2*(2/3)=1,5V


150hz

Etage 250Hz
Idem pour 250Hz
Exemple à 250Hz:
Si l’amplitude du signal en entrée est de 1V pour une fréquence de 150Hz la sortie (Out2) est égale à Ve*2*(2/3)=1*2*(2/3)=1,5V


250hz

Etage 1500Hz
Idem pour 1500Hz
Exemple à 1500Hz:
Si l’amplitude du signal en entrée est de 1V pour une fréquence de 150Hz la sortie (Out3) est égale à Ve*2*(2/3)=1*2*(2/3)=1,5V


1500hz

Aperçu du fonctionnement par graphe


graph-frequences

Prototype


Oui quand même je vous le présente , les tests du prototype sont réalisés sur une fréquence de coupure située à 150Hz, ce qui veut dire qu’à cette fréquence de coupure nous devons retrouver en sortie une tension qui est égale à Vout=Ve*2*(2/3)=1*2*(2/3)=1,5V


proto-39 proto-40 proto-41


(Clique pour agrandir)
Les tests sont positifs à l’oscilloscope
10Hz

10hz  

150Hz                   

150hz-1

  1500Hz      

150hz-1

Vous pouvez cliquer pour voir l’echelle des mesures.

Circuit(s) imprimé(s)


Aucun, juste une vue en 3D pour voir la position des composants.

Historiques


14/02/2016
-Modification de la fonction de transfert à 2/3
14/02/2016
-1er mise à disposition